Les femmes congolaises, comme tous leurs
compatriotes, ont tenu à marquer d’une empreinte spéciale les élections
générales qui se sont déroulées dans leur pays.
Elles se sont massivement engagées comme
électrices, et aussi comme candidates.
Les résultats de premiers scrutins sont sans
appel. Les sièges obtenus par le femmes sont
insignifiants pour réaliser une participation paritaire, d’hommes et de femmes
dans les assemblées législatives tant au niveau national (8,4%), que provincial
(6%).
Comment dès lors aborder l’avenir de notre démocratie, sinon après une évaluation rigoureuse de ce manque de performance, pour en tirer de bonnes leçons, pouvant améliorer la participation politique de femmes congolaises dans les différentes assemblées et institutions, et pour les échéances futures ?De ville en villes, de province en provinces, elle se batte pour que la vie sociale des peuples congolais soient respectées, ce constat fait par l'Agence Internationale d'Observation, les parcours et les combats menés par cette députée de la RDC s’inscrivent dans des actions où la valorisation du savoir-faire féminin et l’amélioration des conditions de vies des peuples congolais, une préoccupation centrale, dans l’intérêt de la société toute entière.
selon une enquête menée à Kinshasa par nos
experts, l'honorable députée Nationale de la RD Congo, Elue de la
circonscription de Funa, Mme WAMU ATAMINIA Henriette, est une femme qui mérite
d'être honorée par ses efforts dans la lutte contre les antivaleurs, d'abord
dans le milieu de la jeunesse et surtout chez les femmes. plusieurs actions
menées n'a pas laissé cette structure d'observation qui encourage les
dirigeants à mener des actions des bienfaits pour le peuple partout au monde.
une telle femme est digne d'être classée
parmi les meilleurs futurs dirigeants du Monde. et les Congolais n'ont qu'a
donner leurs chances , à cette femme pour un pays émergent.
L'Agence Internationale d'Observation
felicite l'honorable Députée Nationale de la RD Congo par ses efforts fournies
et insiste pour continuer le combat enfin de lutter pour :
1. Améliorer la participation des femmes
congolaises aux institutions de prise de décision, à différents niveaux , et au
sein de toutes les institutions.
2. Déterminer des mécanismes pour
atteindre ses buts, après une profonde analyse des causes de l’échec actuel,
avec les femmes ayant participées aux négociations des textes électoraux ( loi
électorale) .
Patrice Renault-Sablonière
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